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professionnel:cv_illustre_pascal-delrot_electronique

Tentative pour illustrer tout ce à quoi j’ai pu faire ou participer… Bien sur, confidentialité oblige, ce ne sera que des données publiquement disponibles. A défaut d’illustrations dessinées, l’illustration sera via des URL ! Mon CV officiel est ici.

Équipements aéronautiques

Si je devais commencer par quelque chose, c'est la dizaine d'années pendant laquelle j'ai eu l'occasion de faire le support technique de balises de détresses aéronautiques ELT96/97, et la conception d'un nouveau modèle (ELT96-STD et ELT96-GPS).

La page suivante pourra vous renseigner sur ce que sont les balises de détresse (une ELT96/97 se cache en haut, la seconde en partant de la gauche).

Pour les nouveaux modèles, l'une des traces disponible est une brochure de présentation que j'ai écrite.

Une des parties les plus difficiles sur ce type de produits, ce sont les approbations par les autorités et/ou les clients, dont on peut s'amuser à retrouver la trace chez les différentes autorités :

  1. Et en prenant en compte les problèmes de transport des batteries au lithium, avec les règlements IATA

J'ai aussi eu l'occasion de faire quelques participations sur les montres de bord et des batteries d'éclairage de secours.

L'éclairage public

Ensuite pendant 3 ans, c'est par conviction qu'il est possible de réaliser des économies d'énergie que je me suis investi dans l'éclairage public (capteurs et technologies de communication).

L'efficacité du tout a pu être démontrée dans le cadre du projet européen LITES géré par un collègue de Bordeaux. Démonstration sur un des 4 sites pilotes.

J'ai sélectionné toute une famille de capteurs de détection de présence des usagers, désormais au catalogue :

Ils sont parfois intégrés dans certains luminaires :

Mais aussi des technologies de communication pour permettre aux lanternes d'échanger des informations de présence des usagers, en plus de la télégestion (en particulier le niveau 2) : http://www.thornlighting.com/holding/e-books/Fr_compcat_2014/files/assets/basic-html/page300.html http://www.thornlighting.com/holding/e-books/Fr_compcat_2014/files/assets/basic-html/page301.html

En 2015, quelques lanternes ainsi réalisées ont été placées sur un terrain d'expérimentation en grandeur nature aux Pays-Bas, géré par le laboratoire http://www.lightinglab.dk/UK/FOCUS/Outdoor-lighting/DOLL.

Plus innovant, il y a aussi les essais et validations d'application autour du LiFI (article Usine Nouvelle), comme par exemple le site de démonstration à Meyrargues avec des luminaires EP145 (article sur le site de la SLA).

De façon plus générale, j'ai pu participer à plusieurs projets de nouveaux produits :

  1. CONTRAST 2 et SATIN2 (partie contrôle DMX pour la couleur)

La collecte optimisée des déchets

Toujours par conviction et dans la thématique “ville intelligente”, c'est vers l'optimisation des collectes de déchets que je me suis tourné fin 2015. Quelques exemples sur cet article du Monde de 2019 ou sur cet article de 2015 sur "Environnement magazine".

Dans le cas de ma start-up, il s'agit là d'avoir des produits de télé-relève du remplissage des conteneurs à déchets fiables et robustes, couplés à un système d'optimisation des tournées des camions et le guidage de ces derniers. L'amélioration de l'industrialisation et la robustesse de ces produits sont 2 des enjeux importants, tandis que les ventes doublent presque tous les ans, et que les effectifs ont quintuplés en 3 ans (autre enjeu à gérer). Écologiquement, le gain est surtout sur le kilométrage parcouru par les camions (couplé à un gain économique).

L'idéal bien entendu reste de réduire les déchets produits, mais cela est avant tout l'affaire de chacun. "France 3 On a la solution : Orléans Objectif Zéro Déchet" présentée par Louise Ekland le 22 septembre 2018

Personnel

à venir PS : ce wiki est un exemple ;-), et il existe un site bien plus ancien initié pendant mes études (1999).

Études

Mes études donc… maternelle, primaire, collège… c'est au lycée que commencent les spécialisations. Très tôt, je me suis orienté sciences (plutôt la physique), sciences industrielles (dessin, automatisme), informatique… au Lycée Louis Armand à Poitiers jusqu'au BAC. J'ai continué en classe préparatoire PTSI-PT. Depuis, le lycée a changé de nom suite à une fusion : le Lycée Nelson Mandela.

Ces premières orientations sont certainement dues aux nombreuses constructions réalisées en LEGO puis LEGO Technic à la maison… on ne se refait pas !

Ensuite, école et diplôme d'ingénieur (et DEA). Ce fût l'ISIM (Polytech'Montpellier de nos jours), filière microélectronique et automatisme (MEA).

L'électronique, l'informatique

Mes premiers pas en informatique sont au cours préparatoire, avec des TO7, et le LOGO. J'ai retrouvé TO7 et MO5 plus tard, au club informatique d'Iteuil, au début du collège. Mes premiers programmes en BASIC, changer la couleur de l'écran, faire des fonctions de calcul sur la géométrie - le tout enregistré sur cassette. L'année qui suit, étant l'un des plus jeunes du club, on m'a donné l'occasion de monter le tout nouveau et coûteux ordinateur 286. Il fut complété par la suite par des 386 et 486, sur lesquels j'ai fais mes armes en MS DOS, Windows 1.0 (si si), 3.1.

Pendant mes années collège, mon grand-père a du quitter la sidérurgie, et a ensuite travaillé dans une usine d'assemblage de calculatrices si je me souviens bien. Je me suis vu offrir un jeu éducatif sur l'électronique. “C'est l'avenir” me dira-t'il. Pas mon “jeu” préféré, mais il été intéressant de faire allumer des diodes avec des transistors, des capteurs de luminosité, autres amplificateurs et oscillateurs, aidé dans les câblages par les schémas du manuel. J'ai encore les composants et le manuel. Suite à une demande d'un internaute à ce sujet, il s'agissait de cette boîte chez Schuco/Nathan/Laffont “Labo électronique” : http://www.radioman33.com/pages/les-boites-de-jeu-radio/labo-electronique-de-r-laffont.html

Entre temps, beaucoup d'auto-formation, d'abord en programmation et d'algorithmie à la fin du collège (dans un gros livre sur le Pascal, que j'ai prêté, et que je n'ai jamais revu). Je me souviens encore des arbres de structures à base de pointeurs - très didactique. Je me suis aussi beaucoup amusé avec HyperCard et HyperTalk sur l'ordinateur de labo de mon papa. Sans le savoir, déjà de la programmation objet.

Je n'avais pas encore d'ordinateur à la maison. J'ai pu participer au montage de quelques ordinateurs (des 486…) au club informatique d'Iteuil, et à leurs activités. Le passage des programmes écris à la main à la version informatique fut assez difficile - il faut rester humble face aux compilateurs à la syntaxe aveugle et implacable, et sa propre bêtise dans les algorithmes.

Après quelques années, j'ai finalement eu une très bonne note au BAC sur l'option informatique : un programme sous MS-DOS, un ami ayant besoin d'une interface utilisateur pour créer des personnages pour le jeu de rôle Stormbringer par rapport au livret de jeu. Déjà sur un mode “client” pour rendre service et m'amuser, c'est ce que je lui ai écrit, en TurboPascal et TurboVision ; mes premiers pas en programmation objet et surchage des API (les fameux verrous/calcul aléatoire des champs d'entrée de donnée sur l'image ci-dessous). Présentation du programme réalisé en classe de terminale (1996!)

Entre temps, Linux avait fait son apparition, et mon frère et moi avons essayé. J'utilise encore de nos jours openSuSE Linux au quotidien à la maison (d'ailleurs installé sur un appareil Apple) et xubuntu sur une machine virtuelle au travail. La compilation de tout le système Linux a l'installation a disparu, c'était toute une aventure.

Mes livres de chevet de l'époque : “PC Interdit”, la “Bible de la Programmation Système” peuvent encore servir comme cale livre. Épaisse documentation informatique Linux Bible PC...

L'apprentissage du C arrive en classe préparatoire (sur PC) et à l'ISIM (sur microcontrôleur).

A la maison, j'avais récupéré un compilateur Delphi, sur lequel j'ai surtout réalisé un “jeu de la vie” que j'avais croisé dans une revue scientifique.


Pour l'assembleur, Java et un peu de Tcl-Tk, j'ai été autodidacte. Idem en technologies internet (HTTP, Javascript, CSS, PHP…) qui se démocratisaient à l'époque. J'ai suivi Linux très tôt (1996) - mon premier PC, puis Unix à l'école d'ingénieur, et définitivement chez moi depuis 2007 (essentiellement openSuSE). Il faudra que je m'intéresse au langage Python un de ces jours. Je connais aussi le VHDL bien sur, appris à l'ISIM, car en microélectronique et FPGA, c'est assez incontournable. J'aime beaucoup ce concept de programmation (dont la syntaxe est proche… du Pascal).

Le VHDL me permet dans ce monologue de revenir à l'électronique. Le jeu offert par mon grand-père quelques années auparavant m'a sûrement facilité inconsciemment les choses dans mes études. Mes premiers pas sur des ordinateurs assez simples, les cours d'électroniques analogie et numérique, architecture des calculateurs, calcul numérique forment un ensemble très complet pour appréhender les systèmes électroniques dans leur ensemble.

Depuis mon premier montage de PC du club informatique, j'étais au collège, montage, démontage, et dépannage informatique sont l'une des cordes à mon arc. Une petite spécialité étant le dépannage de disque dur, pour récupérer des secteurs de démarrage, ou des données quand tout semble perdu.

Formation continue

En études, il reste aussi un certain nombre de formations durant ma vie professionnelle :

  1. Une formation de Sauveteur Secouriste du Travail (SST) par le SDIS 80, qui devrait être généralisée à tous,
  2. sur fonds propres l'écoconception,
  3. La démarche ISO14001,
  4. Et des formations plus dédiées à l'éclairage (protocole DMX, et les bases en éclairagisme public)
  5. L'analyse de la valeur et la conception à coût objectif dans le but de trier toutes les demandes de fonction sur un produit

Associatif

Mes engagements associatifs sont anciens, mais m'ont apporté beaucoup durant mes années au lycée.

Certains étaient liés à la vie de mon village, ou je prêtais, un peu de mon temps pour la rédaction des bulletins du comité des fêtes (via le Club Informatique), avec un passage par une découverte des métiers de l'édition et la typographie d'une durée de quelques jours, avec quelques autres adolescents, grâce à “Vienne Informatique”. Mon goût prononcé du soin de la mise en page doit y trouver une origine.

C'est surtout le temps que j'ai passé l'été dans les chantiers des jeunes volontaires qui me parait important ; une première année comme “ouvrier”, et plus tard comme encadrant des plus jeunes. Au menu, entretien de lavoirs, création de panneaux sur la flore sur des sentiers, réfection de peintures dans l'école…

Plusieurs années de suite, j'ai été membre du Club de VTT. J'y ai développé un fort goût pour l'exploration, le repérage et balisage ; puis avec les années, une petite responsabilité dans l'encadrement des randonnées.

Avec 2 autres élèves, nous avions aussi créé un club écologie au lycée, et réalisé une exposition sur ce thème et les problèmes sur l'approvisionnement en eau, en nourriture, certaines pollutions. Mon ressenti était d'avoir reçu très peu d'écho. C'était en 1995… ces problèmes n'étaient pas nouveaux, et sont désormais encore plus criants.

Durant mes premières années en région parisienne, j'ai aussi participé à un groupe de travail sur l'écologie créé par la Mairie de Sceaux en 2006, le CL3D. Il existe toujours. Sceaux, conseils participatifs

Faute de temps pour ces engagements, j'essaie de faire vivre toutes ces valeurs dans les emplois que j'occupe. Les années passant, je pense qu'à l'avenir j'aurai un engagement pour la dignité des personnes et de leur logement.

/var/www/vhosts/kadavrhusky.net/httpdocs/data/pages/professionnel/cv_illustre_pascal-delrot_electronique.txt · Dernière modification : 2020/05/11 00:22 de Pascal Delrot